Après quelques heures à dessiner le portrait de mon modèle, j’appose ma signature sur son portrait et j’ai alors le sentiment profond d’avoir créé un lien qui nous unit à jamais. C’est un véritable moment de grâce.
Lire plusQui, un jour, n’a pas écrit dans le sable son nom ou celui de la personne aimée (ou gravé ses initiales sur le banc d’un parc, le tronc d’un arbre ou le ciment frais d’un trottoir)?
Lire plusJuillet 2018. Pour mon anniversaire, j’ai acheté une tablette pour me lancer dans l’univers du dessin numérique. Et depuis, j’ai foncé tête baissée, et ce, dans tous les sens du mot. Presque tous les jours, assise sur le fauteuil du salon, la tablette sur mes genoux, tête inclinée, j’ai dessiné, encore et encore.
Lire plusSur la grève, je me promène. Roche après roche, je pose le pied. Et les grains de sable que le vent amène troublent ma vue et mes pensées….
Lire plusJ’ai toujours des coups de cœur pour les couchers de soleil sur le fleuve Saint-Laurent. Je ressens aussi des WOW pour les bateaux de croisière qui accostent un quai à Québec. Difficile de les manquer!
Lire plusMA MÈRE. LE PORTRAIT DE L’ÉMANCIPATION D’UNE FEMME.
Lire plusSur le chemin de la vie, on ne revient ni en arrière ni au point de départ. C’est un aller simple pour un voyage périlleux. Et, à ce jour, j’ai parcouru un très long chemin. Les valeurs et les espoirs que j’ai semés sur mon parcours et même les rêves que j’ai abandonnés en cours de route, bien, j’ose espérer que quelqu’un les ramassera là où je suis passé.
Lire plusPourquoi des tomates vertes la nuit? Pourquoi pas? Y a pas de mauvais sujets ou de mauvais modèles!
Lire plusSa taverne était sur la rue des grands magasins. Pendant que les femmes magasinaient chez Pollack, Paquet, Laliberté, au Syndicat de Québec…, les hommes, qui n’aimaient pas plus magasiner qu’aujourd’hui, attendaient leur femme à la taverne. Dans les années 50, la basse-ville et la haute-ville de Québec en comptaient une quarantaine et le quartier Saint-Roch était surnommé le « quartier des tavernes ».
Lire plusDessiner des visages d’homme du début du siècle dernier. Dessiner des visages qui portent les traces et les cicatrices d’une vie intense. Dessiner les traces de l’effort, du vent, du froid et de l’essentiel. Dessiner des hommes qui portent la fierté dans leur regard malgré tout…. Dessiner ces hommes d’après l’oeuvre photographique de Edward S. Curtis, ethnologue américain.
Lire plusJ’ai vu Mimi, pour la première fois, en février dernier. C’était sur sa photo de jeune fille transmise avec son avis de décès.
Lire plusJ’ai peint ce portrait le lundi 16 janvier 2017, le jour du Lundi blues ou Blue Monday, soit le nom donné au jour le plus déprimant de l’année. (Le troisième lundi du mois de janvier).
Lire plusEXPRESSION D’UN REGARD (Portrait et texte de Nicole Paquet) Plus je regarde au loin, plus le chemin de ma vie est brouillé. Chercher à voir les détails de mon futur. Trouver la distance qui sépare la fin de moi. Quête discrète qui façonne le quotidien, l’expression de soi. Une inquiétude présente… de plus en plus. Fouiller dans le passé pour trouver ce que mes aïeuls auraient compris sans me laisser la trace. Quel est ce “plus tard”, cet “ailleurs” qui trouble tant mes pensées? (Merci à Claude, mon modèle et mon inspiration)
Lire plusJ’ai lancé mon site hier et je suis très heureuse du nombre élevé de visites…
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